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Pour servir les adultes en quête de sens et la communauté nicolétaine

Un nouveau diacre permanent s’est joint à la famille diocésaine de Nicolet. Daniel McMahon a reçu l’ordination diaconale à la cathédrale Saint-Jean-Baptiste, dimanche 16 aout après-midi, au cours d’une célébration présidée par Mgr André Gazaille, évêque de Nicolet. Alors qu’il arrive bientôt au terme de son mandat comme recteur de l’Université du Québec à Trois-Rivières, monsieur McMahon se prépare à une nouvelle mission et puisera dans ses qualités d’éducateur pour la servir.

Reconnu comme un homme d’action, toujours engagé à fond dans son milieu pour relever les défis qui lui sont confiés, le nouveau diacre permanent a répondu à un appel qui faisait son chemin depuis un certain temps dans son parcours. Bien qu’il sache très bien faire la part des choses entre ses fonctions de leader dans la vie civile et son engagement dans l’Église au nom de la foi chrétienne, c’est toujours le même élan de service qui anime Daniel McMahon en toutes choses.

Avec l’aide de son épouse, Liette Boisvert, Daniel revêt l’étole portée en diagonal par les diacres.

« Issu d’un milieu de commerçants où bien servir la clientèle est un impératif, aimant les gens, suivant l’exemple d’une grand-maman impliquée auprès des malades et des personnes âgées, j’ai vite laissé cours à ce goût du service et je me suis impliqué et appliqué à répondre à toutes sortes d’appels civils et religieux », résume-t-il. Il a ainsi su conjuguer son bénévolat au sein de son Église paroissiale – comme catéchète, homéliste ou membre de comités – avec des responsabilités de haut niveau dans divers domaines publics. Et ce, en toute humilité et sans compromettre l’une ou l’autre facette de ses activités.C’est avec l’appui de son épouse, madame Liette Boisvert, qu’il a entrepris son discernement en vue de répondre à cet appel ; s’est ensuite enclenchée la formation requise pour entrer dans cette nouvelle étape de son implication communautaire. Ce parcours le conduisant aujourd’hui au ministère diaconal s’amorçait peu après les fêtes de Pâques, en 2012, alors qu’il était âgé de 56 ans.

Projet diaconal

Suivant son ordination diaconale et après la fin de son mandat au rectorat universitaire, Daniel McMahon se mettra au service de sa communauté locale sans renier son expérience d’éducateur et de gestionnaire. En tant que diacre permanent, il a en effet eu à formuler un projet missionnaire ; celui-ci le porte à la rencontre d’adultes en quête de sens ayant le désir de découvrir ou de redécouvrir Jésus. « À un moment dans la vie adulte survient un évènement qui provoque une réflexion, un moment d’arrêt, une quête de sens. Ainsi une fenêtre s’ouvre pour proposer de nouveau Jésus et son chemin de vie », observe Daniel McMahon. Il compte faire route avec ces personnes dans différents contextes tels que la quête de sens lors d’un deuil – en particulier lors de liturgies de la Parole au salon funéraire –, lorsque des parents accompagnent leur enfant en catéchèse pour vivre les sacrements ou encore dans les passages liés aux étapes de la vieillesse.

Le diaconat permanent

Le diacre permanent est un homme ordonné au service de l’Église à travers son engagement dans son milieu de vie ; ce ministère peut être confié à des hommes mariés ou célibataires qui ont un certain vécu au sein de leur communauté chrétienne. Au plan liturgique, les diacres permanents peuvent servir leur communauté dans l’animation de liturgies de la Parole, donner le baptême, présider la célébration de mariages catholiques et célébrer des funérailles, sans eucharistie. Le diocèse de Nicolet compte actuellement vingt-et-un diacres permanents et deux candidats en formation. Daniel McMahon est le troisième diacre ordonné par Mgr Gazaille.

Lors de son ordination à la cathédrale de Nicolet, parents et amis de Daniel McMahon ont pu prendre part à l’évènement dans le respect des mesures de distanciation prescrites pour les rassemblements à l’intérieur. Les gestes sacramentels et liturgiques ont aussi dû être adaptés au contexte de la COVID-19, mais le tout n’a pas empêché la communauté nicolétaine de vivre ce moment de célébration dans la joie et la gratitude.

Notes biographiques

Daniel McMahon est connu du public pour avoir occupé d’importantes fonctions de leadership, notamment à titre de maire (Nicolet 1995-2001), de préfet de MRC (Nicolet-Yamaska 1997-2001), de président de l’Ordre des comptables agréés du Québec, devenu en 2012 l’Ordre des comptables professionnels agréés du Québec (2004-2016) et de recteur (UQTR de 2016 à ce jour). En raison de ses présentes responsabilités à l’UQTR, M. McMahon entend observer un devoir de réserve sur son engagement comme diacre permanent jusqu’à ce que son mandat prenne fin, au début de cet automne.

 

Procession d'entrée

La distanciation et le port du masque ont été observés.

Appel de Daniel et de Liette

Les deux disent « oui » à cet appel au service pour le diacre et son épouse.

Devise diaconale

Humilité et service pour faire avec Lui et pour Lui.

Prière de l'assemblée

La litanie des saints est invoquée en faveur de Daniel.

Imposition des mains

Un geste solennel posé en silence.

Prière d'action de grâces

Seigneur Jésus, merci d’ouvrir mon esprit à l’intelligence de ta Parole ; qu’elle puisse être sur mes lèvres ; et qu’elle pénètre au plus profond de mon cœur pour porter du fruit dans l’action au quotidien.

Album photo

Visionnez l’album photo complet de cet évènement sur notre page Facebook.

« C’est à l’amour que vous aurez les uns pour les autres

qu’on vous reconnaitra pour mes disciples. »

 

Depuis le 22 juin, il nous est possible à nouveau de nous rassembler dans nos églises pour la messe, la célébration des funérailles, des mariages, des baptêmes et les rencontres de toutes sortes. C’est ce qui a permis, la fin de semaine suivante, de célébrer la messe dominicale « en personne », pour une première fois depuis la mi-mars. Ces activités reprendront graduellement, selon les ressources des paroisses.

Bien sûr, il y a de nombreuses restrictions sanitaires à appliquer. Pour les prêtres et les autres ministres, il y a un rigoureux protocole à suivre, notamment pour l’animation et la communion ; pour les responsables de paroisses, une sérieuse préparation des lieux de culte et de nombreux bénévoles sont nécessaires pour accueillir les paroissiens et les aider dans l’application des mesures ; pour l’assemblée limitée à 50 personnes à l’intérieur, on doit observer le lavage des mains obligatoire et le respect de la distance de 2 mètres ainsi que s’abstenir de chanter. Pour les personnes disponibles, c’est d’ailleurs un bon moment pour offrir vos services bénévolement à votre communauté, alors que la reprise des activités pastorales comporte autant d’exigences.

Malgré tout cela, nous ressentons une grande joie de nous revoir, de prier ensemble, d’écouter la Parole de Dieu et de recevoir le corps du Christ. Ensemble, parce que c’est une composante essentielle de notre foi. On ne peut pas être chrétien tout seul. On fait partie d’une grande famille, celle du Christ. Bien plus, comme nous le rappelle sans cesse saint Paul, nous sommes le Corps du Christ, chacun de nous étant un membre essentiel, unique, irremplaçable de cet immense corps dont le Christ est la tête et le cœur.

Bien sûr, ces restrictions peuvent nous impatienter. La liberté, la spontanéité nous manquent. Mais il ne faut pas oublier que le coronavirus est toujours présent. Que dans nos communautés, il y a de nombreuses personnes vulnérables ! Que nous avons à veiller les uns sur les autres. Que les restrictions ne sont pas seulement pour nous protéger nous-mêmes, mais aussi pour protéger les autres. « C’est à l’amour que vous aurez les uns pour les autres qu’on vous reconnaitra pour mes disciples (Jn 13, 35). »

Encore un peu de patience. Dans peu de temps, il nous sera possible de nous réunir dans des assemblées plus considérables, pourvu que nous soyons assez consciencieux pour adapter nos rassemblements au contexte que nous vivons. Il y aura encore les mêmes contraintes et il sera encore plus crucial de ne pas les relâcher avec un plus grand nombre de personnes, quand ce sera permis. C’est pour cette raison que je veux spécialement encourager tout le monde à porter un masque, lors des célébrations, comme un geste d’amour et de respect pour la santé des autres personnes. C’est une manière simple efficace d’être bienveillants les uns envers les autres.

En toutes circonstances, il ne faudra pas oublier que nous sommes responsables les uns des autres et que c’est important que chaque membre de nos communautés puisse se sentir en sécurité.

Dans la joie d’être ensemble.

 † André Gazaille, évêque de Nicolet

 

Les Aventuriers de la vie (mixte, 10-14 ans)

Le camp « Les Aventuriers de la vie » est une activité jeunesse du diocèse de Nicolet. Nous proposons à chaque participant.e, dans le respect de ses croyances et de ses convictions, un chemin de croissance de toute sa personne pour mieux vivre au quotidien.

Chaque année, les jeunes viennent rencontrer de nouveaux personnages bibliques et participent à leur histoire. Ils sont invités à vivre une expérience très spéciale avec des jeunes de leur âge dans un endroit magnifique.

Pour qui? Garçons et filles de 10 à 14 ans

Le prochain camp aura lieu : Le 14 août ou le 17 août 2020, au choix. 

Coûts : 10 $ par jeune. Pour chaque inscription d’un autre enfant de la même famille, le coût est réduit à 5 $, jusqu’à concurrence de 20 $ par famille..

Une scène du camp Les Aventuriers de la vie, édition 2017.

Édition spéciale COVID-19

Mini-camp d’un jour, deux dates au choix 

Deux possibilités sont offertes pour aller à la découverte d’un récit biblique inspirant qui colorera les autres activités vécues au cours de la journée. 

Vendredi, 14 août de 9 h à 16 h
Au parc Woodyatt
53, rue du Pont, Drummondville
En cas de pluie: au sous-sol de la basilique Saint-Frédéric, 219 Rue Brock, Drummondville.

OU

Lundi, 17 août de 9 h à 16 h
Chez Natureza Spa
13, rang Dion, Saint-Norbert-d’Arthabaska
Plein de possibilités extérieures ou intérieures en cas de pluie.

Pour plus d’information, communiquez avec le ou la responsable de votre région :

Région de Drummondville :
Guy Lebel glebel@hotmail.com
Téléphone : 819-472-6422

Région de Victoriaville :
Amélie Voyer, amemission@outlook.com
Téléphone : 819-752-9541 poste 33

Toute autre région :
Line Grenier, linegrenier@diocesenicolet.qc.ca
Téléphone : 819-806-5212

Visitez l’évènement Facebook et invitez des amis!

 

 

La joie de célébrer notre foi ensemble enfin déconfinée!

Les prêtres et les autres membres des équipes pastorales qui s’y préparaient depuis quelques semaines accueillent avec joie l’annonce de la réouverture des lieux de culte faite par le gouvernement du Québec, une autorisation en vigueur dès le 22 juin. « Notre façon d’accueillir les croyantes et les croyants à l’église sera certainement une adaptation à vivre pour tout le monde. Mais la joie de se retrouver ensemble, dans la foi, afin de célébrer la vie dans toute sa profondeur, aucun masque ni aucune mesure de distanciation ne pourra nous enlever ça ! », assure Mgr André Gazaille, évêque de Nicolet.

Les multiples mesures sanitaires présentées par un comité interreligieux ont donné satisfaction aux autorités de la santé publique, de sorte que la levée de l’interdiction de rassemblements dans les églises du Québec entre en vigueur en même temps que pour les théâtres, cinémas et autres lieux publics intérieurs, soit lundi prochain. La taille des assemblées est aussi limitée à 50 personnes pour le moment, de sorte que chaque paroisse devra moduler ses pratiques en fonction de la taille de ses églises et des assemblées qui s’y retrouvaient en temps normal. Ces décisions seront prises localement. L’information concernant les églises ouvertes et les heures d’accueil et de célébration dans le Centre-du-Québec sera disponible sur le site du diocèse de Nicolet ou au secrétariat de chaque paroisse.

Des habitudes bouleversées

« Vivre en présence du nouveau coronavirus a bouleversé les habitudes de tout le monde, bien que cela n’a pas empêché les gens de s’entraider ou de s’unir dans la prière, même à distance. Mais pour nous, les chrétiennes et les chrétiens, notre présence les uns aux autres et notre relation avec Dieu se vivent à leur comble dans le pain partagé, dans la communion à l’eucharistie », explique Mgr Gazaille. « Et même pour nous, les prêtres, qui avons continué de célébrer l’eucharistie privément chaque jour durant ces trois mois, c’était une souffrance de ne pouvoir la vivre avec d’autres. C’est dire combien ce moment était attendu par beaucoup de gens ! », poursuit-il.

Autour de tous les décès survenus durant la période de confinement, beaucoup de souffrance humaine et spirituelle s’est accumulée dans les familles. « Cette souffrance demande aussi à être déconfinée, libérée », observe Mgr Gazaille. Au cours des derniers mois, les salons funéraires ont fait leur travail, et les prêtres disponibles – âgés de moins de 70 ans – n’ont pas cessé d’accompagner spirituellement les familles en deuil, notamment lors d’inhumations au cimetière, avec un nombre de personnes restreint. Toutefois, pour les familles qui n’ont pu vivre les funérailles ou rites d’adieu souhaités, à l’église, des options seront désormais offertes au cas par cas.

Les dispositions qui permettent la distanciation et les mesures sanitaires visant la protection de toutes les personnes qui fréquentent l’église seront scrupuleusement appliquées, et le port du masque est fortement encouragé par les responsables des églises catholiques. « C’est plus qu’une question de respect ou de règlementation, c’est une question de charité chrétienne », souligne Annie Beauchemin, coordonnatrice de la pastorale au diocèse de Nicolet. « On ne nous a pas imposé de restrictions concernant l’âge des personnes participant aux activités ou des prêtres. En conséquence, nous devons toutes et tous nous protéger les uns les autres, avec une attention spéciale pour les personnes âgées ou plus vulnérables. C’est très évangélique ! », considère-t-elle.

Ouverture graduelle et variable selon les milieux

Dès lundi, les prêtres pourront commencer à célébrer la messe en semaine avec les fidèles qui veulent se joindre à eux. Dans la plupart des paroisses, des célébrations dominicales reprendront à partir du weekend suivant (samedi et dimanche 27 et 28 juin), mais de façon graduelle et variable selon le lieu. « Avant de se présenter à la messe à l’heure habituelle, on recommande fortement aux paroissiennes et aux paroissiens de s’informer de source sûre, soit en appelant au presbytère soit en consultant les sites Web ou pages Facebook de leur paroisse ou du diocèse », précise Annie Beauchemin.

Graduellement encore, d’autres activités pastorales comme les catéchèses familiales, les services d’entraide et les rencontres de partage biblique pourront reprendre ; cela sera aussi fait dans le respect des critères de rassemblements permis. Quant aux mariages, plusieurs couples avaient déjà pris la décision de les reporter ; ceux qui souhaitent néanmoins le célébrer en respectant la distanciation prescrite pourront le faire. Des protocoles pour la plupart des autres sacrements – onction des malades, baptême, sacrement de réconciliation et ordination – ont été adoptés et peuvent donc avoir lieu en toute sécurité pour les ministres et les fidèles, selon les besoins spirituels qui seront exprimés dans les semaines à venir.

Principales mesures à observer

  • Rassemblements limités à 50 personnes
  • Toute personne qui présente des symptômes de covid ou de grippe doit rester à la maison
  • Lavage des mains à l’accueil
  • Le port du masque est encouragé
  • Deux mètres de distances entre les bancs occupés et entre les personnes
  • Seules les personnes résidant à la même adresse peuvent s’asseoir ensemble
  • Il n’y aura pas de chorale
  • Le président et les autres participants à l’animation ne doivent pas partager le micro, l’ambon, ou d’autres objets liés au culte
  • S’il y a échange de la paix, ce sera sans contact, à distance

Pour la communion

  • Circulation à sens unique, à deux mètres, un banc à la fois
  • Les personnes qui portent un masque doivent le retirer et se laver les mains avant de s’avancer
  • Les ministres de la communion doivent se laver les mains avant de la donner
  • Le ministre de la communion et la personnes qui la reçoit doivent observer une distance maximale en étirant les bras
  • La communion se donne sans échange de paroles
  • La communion doit être reçu dans la main, sans contact
  • Les ministres de la communion disposeront de produit désinfectant à utiliser en cas de contact fortuit

La quête du 5e dimanche à l’église n’aura pas lieu

Comme toutes les autres activités collectives, le Carême de partage sous le thème: « Pour notre maison commune: ce carême, donnons avec cœur » est chamboulé par la crise de la COVID-19. Le lancement de campagne prévu au café La Farniente de Victoriaville, le 17 mars dernier a dû être annulé. De plus, il ne pourra y avoir de collecte dans les églises ce 5e dimanche du carême, soit les 28 et 29 mars, en raison de l’annulation des rassemblements. Mgr André Gazaille invite tous les baptisé.e.s à exprimer leur solidarité de toutes sortes d’autres manière, soit par un don en ligne, par la poste ou par téléphone.

Malgré la crise et même à cause de la crise, insiste Mgr Gazaille, la générosité des diocésaines et des diocésains est toujours aussi essentielle pour les populations des pays du Sud. «Dans plusieurs pays du Sud, la pandémie vient mettre davantage de pression sur les communautés et les ressources précaires dont elles disposent et exacerbe certains problèmes causés par la pauvreté, la faim, les changements climatiques et l’instabilité politique. Cependant, les communautés répondent déjà avec une solidarité et une résilience remarquable», indique l’organisation dans une page Web où sont rapportées des nouvelles du terrain, face à la COVID-19.

En vue du Carême de partage, deux objectifs précis avaient été identifiés par le conseil diocésain de Développement et Paix: une récolte diocésaine visant les 100 000 $ ainsi que le recrutement d’une personne «ambassadrice» par paroisse pour y relayer systématiquement les actions de sensibilisation et de collecte de fonds. Le défi de les atteindre est d’autant plus grand que la campagne prend des allures virtuelles, mais les membres du conseil diocésain tiennent à ne pas les perdre de vue. Pour vous impliquer dans votre milieu, n’hésitez pas à communiquer avec la coprésidente du conseil diocésain, Bianca Mailloux.

Le directeur général de Développement et Paix abonde dans le même sens: « Nous avons pris la décision de poursuivre notre cheminement solidaire et notre Carême de partage de manière virtuelle. Plusieurs ressources sont déjà disponibles en ligne et au fil des jours à venir, nous fournirons du contenu et des ressources supplémentaires, afin que vous puissiez vivre le renouveau spirituel du Carême en ligne et démontrer votre solidarité à celles et ceux qui en ont le plus besoin», écrivait Serge Langlois, dans un message adressé aux membres, le 20 mars dernier.

La messe télévisée du dimanche de la solidarité

Cette année, l’attention de la campagne est spécialement tournée vers les peuples autochtones de l’Amazonie qui œuvrent à la sauvegarde de l’équilibre écologique de cette région du monde, indispensable à la survie des communautés locales et au bien-être de l’humanité. Les croyantes et les croyants qui désirent vivre le Dimanche de la solidarité en union de prière pourront suivre la messe télévisée par Le Jour du Seigneur, le 29 mars à 10 heures.

« Tout au long de la messe télévisée, nous porterons dans notre prière nos sœurs et nos frères de l’Amazonie qui prennent soin et protègent la forêt amazonienne », annonce Développement et Paix. Au temps de l’homélie, Père Yvan Mathieu, supérieur général des Pères Maristes qui présidera la célébration, témoignera du travail des partenaires de Développement et Paix — Caritas Canada dans les pays du Sud qui construisent la paix grâce à notre soutien et notre générosité.

 

Comment donner?

Vous pouvez envoyer un chèque à :

Développement et Paix, 1425 boul. René-Lévesque Ouest 3e étage, Montréal (Québec)  H3G 1T7

ou faire un don par téléphone au :

1-888-664-3387