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Les Aventuriers de la vie (mixte, 10-14 ans)

Le camp « Les Aventuriers de la vie » est une activité jeunesse du diocèse de Nicolet. Nous proposons à chaque participant.e, dans le respect de ses croyances et de ses convictions, un chemin de croissance de toute sa personne pour mieux vivre au quotidien.

Chaque année, les jeunes viennent rencontrer de nouveaux personnages bibliques et participent à leur histoire. Ils sont invités à vivre une expérience très spéciale avec des jeunes de leur âge dans un endroit magnifique.

Pour qui? Garçons et filles de 10 à 14 ans

Le prochain camp aura lieu : Le 14 août ou le 17 août 2020, au choix. 

Coûts : 10 $ par jeune. Pour chaque inscription d’un autre enfant de la même famille, le coût est réduit à 5 $, jusqu’à concurrence de 20 $ par famille..

Une scène du camp Les Aventuriers de la vie, édition 2017.

Édition spéciale COVID-19

Mini-camp d’un jour, deux dates au choix 

Deux possibilités sont offertes pour aller à la découverte d’un récit biblique inspirant qui colorera les autres activités vécues au cours de la journée. 

Vendredi, 14 août de 9 h à 16 h
Au parc Woodyatt
53, rue du Pont, Drummondville
En cas de pluie: au sous-sol de la basilique Saint-Frédéric, 219 Rue Brock, Drummondville.

OU

Lundi, 17 août de 9 h à 16 h
Chez Natureza Spa
13, rang Dion, Saint-Norbert-d’Arthabaska
Plein de possibilités extérieures ou intérieures en cas de pluie.

Pour plus d’information, communiquez avec le ou la responsable de votre région :

Région de Drummondville :
Guy Lebel glebel@hotmail.com
Téléphone : 819-472-6422

Région de Victoriaville :
Amélie Voyer, amemission@outlook.com
Téléphone : 819-752-9541 poste 33

Toute autre région :
Line Grenier, linegrenier@diocesenicolet.qc.ca
Téléphone : 819-806-5212

Visitez l’évènement Facebook et invitez des amis!

 

 

La joie de célébrer notre foi ensemble enfin déconfinée!

Les prêtres et les autres membres des équipes pastorales qui s’y préparaient depuis quelques semaines accueillent avec joie l’annonce de la réouverture des lieux de culte faite par le gouvernement du Québec, une autorisation en vigueur dès le 22 juin. « Notre façon d’accueillir les croyantes et les croyants à l’église sera certainement une adaptation à vivre pour tout le monde. Mais la joie de se retrouver ensemble, dans la foi, afin de célébrer la vie dans toute sa profondeur, aucun masque ni aucune mesure de distanciation ne pourra nous enlever ça ! », assure Mgr André Gazaille, évêque de Nicolet.

Les multiples mesures sanitaires présentées par un comité interreligieux ont donné satisfaction aux autorités de la santé publique, de sorte que la levée de l’interdiction de rassemblements dans les églises du Québec entre en vigueur en même temps que pour les théâtres, cinémas et autres lieux publics intérieurs, soit lundi prochain. La taille des assemblées est aussi limitée à 50 personnes pour le moment, de sorte que chaque paroisse devra moduler ses pratiques en fonction de la taille de ses églises et des assemblées qui s’y retrouvaient en temps normal. Ces décisions seront prises localement. L’information concernant les églises ouvertes et les heures d’accueil et de célébration dans le Centre-du-Québec sera disponible sur le site du diocèse de Nicolet ou au secrétariat de chaque paroisse.

Des habitudes bouleversées

« Vivre en présence du nouveau coronavirus a bouleversé les habitudes de tout le monde, bien que cela n’a pas empêché les gens de s’entraider ou de s’unir dans la prière, même à distance. Mais pour nous, les chrétiennes et les chrétiens, notre présence les uns aux autres et notre relation avec Dieu se vivent à leur comble dans le pain partagé, dans la communion à l’eucharistie », explique Mgr Gazaille. « Et même pour nous, les prêtres, qui avons continué de célébrer l’eucharistie privément chaque jour durant ces trois mois, c’était une souffrance de ne pouvoir la vivre avec d’autres. C’est dire combien ce moment était attendu par beaucoup de gens ! », poursuit-il.

Autour de tous les décès survenus durant la période de confinement, beaucoup de souffrance humaine et spirituelle s’est accumulée dans les familles. « Cette souffrance demande aussi à être déconfinée, libérée », observe Mgr Gazaille. Au cours des derniers mois, les salons funéraires ont fait leur travail, et les prêtres disponibles – âgés de moins de 70 ans – n’ont pas cessé d’accompagner spirituellement les familles en deuil, notamment lors d’inhumations au cimetière, avec un nombre de personnes restreint. Toutefois, pour les familles qui n’ont pu vivre les funérailles ou rites d’adieu souhaités, à l’église, des options seront désormais offertes au cas par cas.

Les dispositions qui permettent la distanciation et les mesures sanitaires visant la protection de toutes les personnes qui fréquentent l’église seront scrupuleusement appliquées, et le port du masque est fortement encouragé par les responsables des églises catholiques. « C’est plus qu’une question de respect ou de règlementation, c’est une question de charité chrétienne », souligne Annie Beauchemin, coordonnatrice de la pastorale au diocèse de Nicolet. « On ne nous a pas imposé de restrictions concernant l’âge des personnes participant aux activités ou des prêtres. En conséquence, nous devons toutes et tous nous protéger les uns les autres, avec une attention spéciale pour les personnes âgées ou plus vulnérables. C’est très évangélique ! », considère-t-elle.

Ouverture graduelle et variable selon les milieux

Dès lundi, les prêtres pourront commencer à célébrer la messe en semaine avec les fidèles qui veulent se joindre à eux. Dans la plupart des paroisses, des célébrations dominicales reprendront à partir du weekend suivant (samedi et dimanche 27 et 28 juin), mais de façon graduelle et variable selon le lieu. « Avant de se présenter à la messe à l’heure habituelle, on recommande fortement aux paroissiennes et aux paroissiens de s’informer de source sûre, soit en appelant au presbytère soit en consultant les sites Web ou pages Facebook de leur paroisse ou du diocèse », précise Annie Beauchemin.

Graduellement encore, d’autres activités pastorales comme les catéchèses familiales, les services d’entraide et les rencontres de partage biblique pourront reprendre ; cela sera aussi fait dans le respect des critères de rassemblements permis. Quant aux mariages, plusieurs couples avaient déjà pris la décision de les reporter ; ceux qui souhaitent néanmoins le célébrer en respectant la distanciation prescrite pourront le faire. Des protocoles pour la plupart des autres sacrements – onction des malades, baptême, sacrement de réconciliation et ordination – ont été adoptés et peuvent donc avoir lieu en toute sécurité pour les ministres et les fidèles, selon les besoins spirituels qui seront exprimés dans les semaines à venir.

Principales mesures à observer

  • Rassemblements limités à 50 personnes
  • Toute personne qui présente des symptômes de covid ou de grippe doit rester à la maison
  • Lavage des mains à l’accueil
  • Le port du masque est encouragé
  • Deux mètres de distances entre les bancs occupés et entre les personnes
  • Seules les personnes résidant à la même adresse peuvent s’asseoir ensemble
  • Il n’y aura pas de chorale
  • Le président et les autres participants à l’animation ne doivent pas partager le micro, l’ambon, ou d’autres objets liés au culte
  • S’il y a échange de la paix, ce sera sans contact, à distance

Pour la communion

  • Circulation à sens unique, à deux mètres, un banc à la fois
  • Les personnes qui portent un masque doivent le retirer et se laver les mains avant de s’avancer
  • Les ministres de la communion doivent se laver les mains avant de la donner
  • Le ministre de la communion et la personnes qui la reçoit doivent observer une distance maximale en étirant les bras
  • La communion se donne sans échange de paroles
  • La communion doit être reçu dans la main, sans contact
  • Les ministres de la communion disposeront de produit désinfectant à utiliser en cas de contact fortuit

Une semaine sainte pas comme les autres

La crise de la COVID-19 et l’arrêt des rassemblements de toute sorte qu’elle entraîne nous amènent à vivre une semaine sainte hors du commun. Les catéchèses pascales, les chasses aux cocos de Pâques, les films écoutés avec les familles, les temps de partage autour de la Parole de Dieu des Maisonnées d’Évangile ou des divers mouvements, les rassemblements de personnes seules, les célébrations des jours saints et j’en passe : tous ces rassemblements de ce temps fort de notre vie de foi ne peuvent avoir lieu.

Cette réalité inattendue nous fait vivre toutes sortes d’émotions et de sentiments : déception, tristesse, colère, sentiment d’être inutile, frustration, sentiment de solitude, d’angoisse, d’anxiété. Le Christ a vécu notre humanité et est familier des souffrances et des joies que nous vivons. Ouvrons-lui ce que nous vivons en cette semaine sainte pas comme les autres afin qu’il nous aide à entrer dans la joie de Pâques. Avec lui, nous pourrons grandir en confiance, en espérance, en charité et entrer dans la vie en abondance.

Des réflexions proposées par la Maison diocésaine de formation

La Maison diocésaine de formation nous propose en cette semaine sainte d’entrer en conversation sur ce que nous vivons en ces jours saints si particuliers. Les vidéos de ces conversations sont diffusés sur la page Facebook de la Maison diocésaine de formation et sont aussi intégrés sur cette page.

Commentaire quotidien sur l’Évangile du jour de Mgr Gazaille

Dans ce contexte de pandémie et de confinement, Mgr Gazaille souhaite partager une méditation chaque jour avec ses diocésaines et ses diocésains. Sur la page de son commentaire sur l’Évangile du jour, il est possible de s’inscrire pour recevoir cette méditation par courriel.

Mgr Gazaille en entrevue à Radio Ville-Marie

Mgr Gazaille sera en entrevue dans l’émission Debout VM (sur les ondes de Radio VM) vendredi 10 avril à 7h45. Pour l’écouter : à Victoriaville – 89,3 FM; à Trois-Rivières – 89,9 FM ou sur le site web de Radio VM.

Des célébrations du Triduum pascal en privé

Même sans la participation physique des fidèles, l’évêque et les prêtres de notre diocèse vont célébrer en privé les mystères liturgiques du Triduum Pascal. Nous pouvons être en communion avec eux, reliés ensemble à partir de nos maisons, en méditant les textes bibliques du Triduum pascal. Vous trouverez l’information sur l’heure du début des célébrations que les prêtres feront en privé sur le site diocésain. Des célébrations seront diffusées à Drummondville, Victoriaville et Nicolet.

Pour être informés sur la COVID-19 et le diocèse de Nicolet

Le diocèse de Nicolet s’ajuste au contexte de la pandémie. Pour tout connaître sur ces ajustements, consultez la page Notre Église et la COVID-19.

 

La quête du 5e dimanche à l’église n’aura pas lieu

Comme toutes les autres activités collectives, le Carême de partage sous le thème: « Pour notre maison commune: ce carême, donnons avec cœur » est chamboulé par la crise de la COVID-19. Le lancement de campagne prévu au café La Farniente de Victoriaville, le 17 mars dernier a dû être annulé. De plus, il ne pourra y avoir de collecte dans les églises ce 5e dimanche du carême, soit les 28 et 29 mars, en raison de l’annulation des rassemblements. Mgr André Gazaille invite tous les baptisé.e.s à exprimer leur solidarité de toutes sortes d’autres manière, soit par un don en ligne, par la poste ou par téléphone.

Malgré la crise et même à cause de la crise, insiste Mgr Gazaille, la générosité des diocésaines et des diocésains est toujours aussi essentielle pour les populations des pays du Sud. «Dans plusieurs pays du Sud, la pandémie vient mettre davantage de pression sur les communautés et les ressources précaires dont elles disposent et exacerbe certains problèmes causés par la pauvreté, la faim, les changements climatiques et l’instabilité politique. Cependant, les communautés répondent déjà avec une solidarité et une résilience remarquable», indique l’organisation dans une page Web où sont rapportées des nouvelles du terrain, face à la COVID-19.

En vue du Carême de partage, deux objectifs précis avaient été identifiés par le conseil diocésain de Développement et Paix: une récolte diocésaine visant les 100 000 $ ainsi que le recrutement d’une personne «ambassadrice» par paroisse pour y relayer systématiquement les actions de sensibilisation et de collecte de fonds. Le défi de les atteindre est d’autant plus grand que la campagne prend des allures virtuelles, mais les membres du conseil diocésain tiennent à ne pas les perdre de vue. Pour vous impliquer dans votre milieu, n’hésitez pas à communiquer avec la coprésidente du conseil diocésain, Bianca Mailloux.

Le directeur général de Développement et Paix abonde dans le même sens: « Nous avons pris la décision de poursuivre notre cheminement solidaire et notre Carême de partage de manière virtuelle. Plusieurs ressources sont déjà disponibles en ligne et au fil des jours à venir, nous fournirons du contenu et des ressources supplémentaires, afin que vous puissiez vivre le renouveau spirituel du Carême en ligne et démontrer votre solidarité à celles et ceux qui en ont le plus besoin», écrivait Serge Langlois, dans un message adressé aux membres, le 20 mars dernier.

La messe télévisée du dimanche de la solidarité

Cette année, l’attention de la campagne est spécialement tournée vers les peuples autochtones de l’Amazonie qui œuvrent à la sauvegarde de l’équilibre écologique de cette région du monde, indispensable à la survie des communautés locales et au bien-être de l’humanité. Les croyantes et les croyants qui désirent vivre le Dimanche de la solidarité en union de prière pourront suivre la messe télévisée par Le Jour du Seigneur, le 29 mars à 10 heures.

« Tout au long de la messe télévisée, nous porterons dans notre prière nos sœurs et nos frères de l’Amazonie qui prennent soin et protègent la forêt amazonienne », annonce Développement et Paix. Au temps de l’homélie, Père Yvan Mathieu, supérieur général des Pères Maristes qui présidera la célébration, témoignera du travail des partenaires de Développement et Paix — Caritas Canada dans les pays du Sud qui construisent la paix grâce à notre soutien et notre générosité.

 

Comment donner?

Vous pouvez envoyer un chèque à :

Développement et Paix, 1425 boul. René-Lévesque Ouest 3e étage, Montréal (Québec)  H3G 1T7

ou faire un don par téléphone au :

1-888-664-3387

Les chrétiens ont l’habitude de se réunir le dimanche. Exceptionnellement, comme nous ne pouvons pas nous rassembler pour éviter de propager la COVID-19, nous proposons de nous unir autrement dans la prière pour les prochains dimanches. Par le coeur, par la prière, rassemblons-nous pour porter ensemble les intentions du monde et pour trouver la paix intérieure. En ce temps de carême 2020 un peu spécial, nous sommes invités à grandir dans la foi. Confiance… la vie nous attend par-delà ce temps plus difficile.

Pour chaque dimanche des prochaines semaines, tu peux choisir l’heure à laquelle tu souhaites prier. Chaque heure du jour, nous serons plusieurs en prière, pas seulement dans notre Église locale, mais partout dans le monde. Pour consulter les suggestions et t’inscrire à une heure de prière: https://diocesenicolet.sogetel.net/portail/priere/

Lancement du Carême de partage

Lancement du Carême de partage

Lancement de la campagne Carême de partage

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Pour notre maison commune : ce carême, donnons avec cœur !

Cet évènement est annulé afin de respecter les consignes de prévention de la COVID-19.

Nous vous aviserons de toute nouvelle annonce concernant la campagne de Développement et Paix dans le diocèse de Nicolet, notamment au sujet de la collecte à l’église normalement prévue le 5e dimanche du carême (28-29 mars) et dont la tenue est maintenant compromise en raison de l’annulation des activités publiques dans les églises.

En conséquence, rappelons la possibilité de faire un don en ligne à cette adresse : www.devp.org ou par téléphone : 1 888 234-8533

L’heure de l’apéro aura un goût de solidarité le 17 mars prochain, avec les membres de Développement et Paix qui lanceront publiquement la campagne Carême de partage sous le thème: «Pour notre maison commune: ce carême, donnons avec cœur».

L’attention de la campagne sera spécialement tournée vers les peuples autochtones de l’Amazonie qui luttent pour la sauvegarde de l’équilibre écologique de cette région du monde, indispensable à la survie des communautés locales et au bien-être de l’humanité.

Toutes les personnes intéressées à ces enjeux sont invitées
à prendre part au «4 à 6» qui aura lieu le mardi 17 mars 2020
dès 16 heures au café La Farniente, 81 rue Notre-Dame Est,
à Victoriaville.

Pour faire le lien avec l’action environnementale des peuples d’Amazonie, des invités spéciaux du milieu marqueront la présence autochtone et son regard essentiel sur la sauvegarde de notre maison commune. On en apprendra davantage sur les partenaires de Développement et Paix qui militent en Amérique du Sud pour la protection de l’eau, des terres et de la biodiversité. Musiques brésilienne et autochtone se côtoieront dans une ambiance festive et solidaire; un léger goûter sera servi.

Mgr André Gazaille, évêque de Nicolet, sera aussi des nôtres, avec le conseil diocésain de Développement et Paix. Il apporte ainsi son soutien à cette campagne de solidarité essentielle dans la dynamique d’engagement des chrétiennes et des chrétiens pour un monde plus juste et plus humain.

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Trouvez toutes les ressources de la campagne ici.

Nos invités spéciaux:

  • Anne Catherine Kennedy, chargée de programme de Développement et Paix pour le Brésil
  • Mathieu Montiminy, Métis, artiste de la scène et intervenant psychosocial.
  • Gaétan St-Arnaud, professeur d’histoire à la retraite et témoin de la présence autochtone